«
Ce qui nous réunit, c’est un même regard critique sur la pensée
unique, le politiquement correct et le réalisme dominant. C’est la
même envie de déjouer le consensus par la diversité,
l’incorrection, la poésie et l’humour. »
La
56ème développe un travail autour de l’improvisation destinée à
l’écriture, particulièrement à partir de la presse écrite et du
positionnement critique des artistes impliqué(e)s dans les projets.
Fondée
à Rouen en 1995 par un collectif d’acteurs-metteurs en scène, la
56ème est depuis 2015 installée à Paris 20ème. Activités &
Créations
La
56ème a produit plusieurs créations originales, notamment : L’Effet
fin de siècle, écriture de plateau traitant des rapports
dominants/dominés au travail. Mise en scène de Jean-Marc Talbot et
Serge Gaborieau, texte de Frédérique Grandpierre – La maladie
d’être mouche de Ann-Lou Steininger, réalisé par Christophe
Grégoire. Spectacle multimédia sur la menace totalitaire- Saïd el
feliz, solo masqué de Thomas Germaine, mettant en scène la tragédie
des émigrés clandestins. Mise en scène de Thomas Germaine et
Bénédicte Lesenne – Superflux, spectacle multimédia de Martin
Hardouin Duparc traitant de la saturation de l’information ...
La
56ème effectue périodiquement des sessions de recherche et
d’écriture de plateau. Lors de la dernière session, nous avons
interrogé Les comportements étranges des animaux humains dans
l’univers hostile de la mondialisation.
Ce
laboratoire mené par Serge Gaborieau a donné lieu à trois textes :
Le Dégraissage des poches de convivialité (Encouragement du CNT),
Les collaborateurs (Lectures au Théâtre des Quartiers d’Ivry et
au Théâtre des Métallos - Mises en espace par la collectif À Mots
Découverts au Théâtre du Rond-Point et au Théâtre de l’Aquarium)
- Histoire à 2 balles, écrit en 2013 en résidence à la
Chartreuse.